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 Première journée (Eliott)

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Duncan Emery Dashwood

Duncan Emery Dashwood

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Première journée (Eliott) Vide
MessageSujet: Première journée (Eliott)   Première journée (Eliott) EmptyVen 26 Juin - 18:54

(Tentative N°2 de RP en Je pour me décider si je le fais en je ou en il comme d’habitude :))

C’est aujourd’hui que tout commence. Je suis enfin accepté à Brown et celle qui m’a amené ici va enfin pouvoir payer pour ce qu’elle a fait à ma sœur et à moi. Cette personne est nulle autre que Taylor Evelyn Dashwood ma sœur aînée. De toutes les personnes que je connais, je crois qu’il s’agit de celle qui a le moins sa place dans mon cœur et je dois vous dire que du monde louche, j’en ai vu et pas qu’un petit peu. Lorsque j’avais 11 ans, nos parents sont morts dans un incendie et c’était donc elle qui devait se charger de nous et elle nous a lâchement abandonnés en décidant de fuir Londres. C’est à cause d’elle que j’ai vécu dans la rue par la suite et je suis content de m’en être sorti. Oui cette expérience m’a appris énormément de choses sur moi-même, mais je n’ai pas eu la vie facile. En fait, je suis plus qu’étonné d’avoir été accepté à Brown, moi, à peine sorti de la rue. La preuve que la vie n’est peut-être pas si injuste. J’ai donc l’opportunité de me sortir de la misère et l’opportunité de lui remettre ce qu’elle a semé : ma haine.

En ayant vécu dans cette misère, je comprends un peu mieux ceux qui y vivent de nos jours. La majorité du monde passeraient à côté d’eux sans même les regarder et avec en plus un air de dégoût. Moi, je sais ce qu’ils vivent. Oui la plus part prennent l’argent qu’on leur donne pour acheter de l’alcool, mais c’est pour oublier qu’ils sont dans la misère. C’est un peu ironique par contre car à la place d’utiliser cet argent pour s’en sortir, ils préfèrent la mettre dans l’alcool pour oublier qu’ils sont pauvres. Pour ma part, je n’ai jamais été fan de l’alcool pendant cette passe. Mon problème, c’était plutôt la drogue. Cette sensation euphorique qui nous rend si heureux et qui m’a permis à de nombreuses reprises que j’étais en fait malheureux. Pour tout vous avouer, lecteurs, j’en prends encore. J’essaie d’arrêter, mais ce n’est pas facile d’arrêter quelque chose que l’on consomme depuis des années. La cocaïne a été ma meilleure amie, ma seule amie.

Parmi tous les étudiants de Brown, je me qualifie comme étant unique. Négativement unique, mais unique. Contrairement aux autres étudiants, je ne suis pas un enfant de riche et je n’en ai pas l’air. Oui ma sœur a les mêmes parents que moi, mais elle paraît beaucoup mieux que moi. En fait, mes deux sœurs puisque les deux étudient maintenant ici. De mon côté, ne je m’habille pas avec des costards fraichement sortie du magasin et ce n’est pas rare que je porte un jean troué. C’était un peu ce qui m’irritait car je n’avais pas envie d’attirer l’attention surtout avec tous les potins qui circulent. Pas que ça me dérange, mais je me connais. Les petits fils de riches qui voudraient se penser drôle à me ramener mon existence en pleine figure, rencontraient bien rapidement mon poing. Je n’ai pas peur de me défendre et je ne me laisserai certainement pas écraser par ces petits cons qui se pensent tout permis. Ces petits fils à maman qui ont tout eu cru dans le bec. Ils n’ont pas connu ma vie.

Des vêtements et des choses, j’en ai volés. Des cigarettes et de la drogue, j’en ai consommées. Des putes et des danseuses, je m’en suis tapé. Sexe, drogue et crime. Heureusement pour moi, je n’ai jamais rien commis de grave ce qui fait que je n’ai aucun casier judiciaire. Autrement, je ne serais probablement pas à Brown aujourd’hui. Dire qu’il n’y a pas deux jours, je dormais encore sous un pont. Pour venir ici, j’ai réussis à décrocher un assez gros prêt et bourse. Je me suis acheté quelques vêtements pour paraître relativement bien – mais sans trop – et je me suis acheté du savon. Puisque mes cheveux commençaient à être assez long, je me suis également refait une coupe. Ce qui me faisait drôle aujourd’hui, c’est que je sentais le savon. Ça faisait tellement longtemps que je n’avais pas senti cette bonne odeur sur moi. Aujourd’hui, les choses changeaient.

DRRRRRRRRRRIIIIIIIINNNNNNNNNNNGGGGGGGGGGGGGGGGG

Fit mon cadran avant que je comprenne ce qui se passait. Je dois vous avouer que c’était probablement la première fois que j’utilisais cela. Je devais avoir passé la veille à lire le manuel d’instruction pour essayer de mettre la bonne heure. À vivre dans la rue, je me levais quand mon horloge biologique me le disait. Bientôt, les cours commenceraient et je devais m’habituer à me réveiller sans tuer cet appareil à chaque fois. Il était donc 9 h 00 du matin quand je décidai de me lever. Je voulais me reprendre en main et visiter un peu avant les cours car avec la grandeur de l’université je me perdrais. C’était bien la première fois que je venais dans un établissement aussi gros et ça m’avait tout pris pour trouver ma chambre. Même si je m’étais lavé avant de me coucher, je retournai dans la douche. Cette odeur de savon était presque aphrodisiaque tellement ça sentait bon. Pour déjeuner, j’avalai une pomme. Je n’avais pas un très gros appétit et j’avais appris à ne pas gaspiller. J’enfilai donc mes nouveaux vêtements pour faire bonne impression comme première journée. Au menu, un jean bleu avec une ceinture de cuire noir et un chandail camisole – masculine bien entendu – blanche avec une chaîne avec des plaques américaines au bout.

- Hey! Moi c’est Duncan et toi bébé? Non. Hé poupée yeah!

Évidemment, non. J’en faisais trop et je mangeais des claques assez rapidement si j’agissais ainsi. Disons que je me foutais un peu de ce qui était moral ou non, mais si je faisais exprès de m’attirer des ennemies, je ne ferais pas long feu. Je dois vous avouer que la dernière fois que je me suis présenté remonte à très longtemps et on ne se présente pas de la même façon à un clochard qu’à une fille ou un mec de Brown. Je dois vous avouer franchement, j’avais peur. Peur de ne pas me faire apprécier et de me retrouver tout seul. Ça ne ferait pas tellement changement de mon passé, mais j’avais envie de changer. J’ai 18 ans et aucun ami potable et les filles m’avaient toujours trouvé repoussant – bon je vivais dans la rue c’est un peu normal -.

- Aujourd’hui, c’est un nouveau jour. Ta vie commence enfin Duncan et il est temps d’être heureux.

Personnellement, j’étais content de me voir dans le miroir. Je me trouvais différent. C’était un nouveau Duncan. Poussant la porte de ma chambre, je me dirigeai alors vers le parc. Est-ce que c’est vraiment là que je voulais me rendre au départ? Aucune idée, mais c’est là que je me rendis. Pour tout avouer, j’allais plutôt n’importe où et j’atterrirais où j’atterrirais. Une fois dans le parc, je pris une grande bouffée d’air frais. Ça me faisait du bien. En tout cas il faudrait que j’aille m’acheter un rasoir car celui jetable que j’avais, ne rasait plus. J’avais déjà un début de barbe. C’est con, mais j’avais envie de pleurer, de crier tellement j’étais heureux que ma vie prenne ce tournant. Ne vous réjouissez pas trop par contre, vous ne verrez JAMAIS pleurer. En regardant autour, je remarquai plusieurs personnes. Certaines qui lisaient en écoutant de la musique, d’autres qui marchaient ou d’autres en couple. Peut-être qu’un jour ce serait mon tour? En tout cas pour le moment, mieux ne valait pas y penser. De les regarder ne ferait que tourner le couteau dans la plaie. C’est alors que mon regard s’arrêta sur une fille (Elliott). Devrais-je aller lui parler? Peut-être était-elle trop occupée à faire un travail ou peut importante. Quand aurait-elle à faire de moi? Pendant tout ce temps, je me confrontais dans ma tête à savoir si je devais y aller ou non. Quelle partie gagnerait? L’ange de Duncan ou le démon de la tête de Duncan? Pendant tout ce temps que je passais à me battre moi-même dans ma tête, mon regard ne la quittait pas. Si ça continuait, elle finirait par partir le temps que je me décide! En même temps, je murmurais à voix basse quelques bonjours qu’elle ne pouvait entendre. C’était bien beau que je me décide, mais je ne savais toujours pas comment lui parler!

(Désolé pour tout ce blabla inutile! Un personnage comme Duncan m’inspire trop. La seule partie où je n’avais aucune inspiration, c’était la fin. Comment faire qu’il te remarque pour facilité la tâche – peut-être – de ton poste :P)
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Eliott Lullaby Fawcet

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MessageSujet: Re: Première journée (Eliott)   Première journée (Eliott) EmptyVen 26 Juin - 21:16

Première journée (Eliott) 2qu4229 Première journée (Eliott) Mini_090306103415775474



    Aujourd’hui, c’est un jour comme tout les autres, un jour où je vais encore me demander si ma place est bien ici ou si j’aurais du rester en Irlande. Non vraiment, à quoi je pensais quand j’ai décidé de venir à Brown ? Je m’imaginais tellement que toutes les personnes forment une grande famille, mais tout ça c’est juste une image, ce n’est pas vrai, cette université est comme toutes les autres. Elles regorgent d’hypocrites et de gens mesquins, je ne voulais plus de tout ça. Je n’ai jamais su ce que c’était que d’avoir une famille. Tout ce que je connais c’est la haine perpétuelle. Aujourd’hui je veux plus que ça. Mais je ne parviens pas à me retrouver dans cet endroit. J’ai l’impression que plus les jours passent, plus j’oublie mes racines, d’où je viens. J’ai grandis dans cet affreux foyer, et aujourd’hui je rêve d’un lieu où tout le monde est unit. Est-ce que j’y parviendrais un jour ? J’espère encore.

    Ce matin, je me réveille encore avec des larmes qui dégoulinent de mes yeux, je ne dors plus, je ne mange plus, je suis obsédé, même si j’ai toujours rêvé d’une famille, il y a autre chose qui a motivé mon départ. Je ne cesse de penser à lui, celui qui m’a brisé le cœur, celui que j’ai aimé comme je n’ai jamais aimé personne, celui qui ne m’a trahit mais qui s’est juste lassé de moi, et le pire dans tout ça, c’est que je ne peux m’en prendre qu’à moi. Je ne lui ai jamais rien dis sur moi, sur ma vie, je ne lui ai jamais expliqué mon histoire. La première fois qu’il s’est décidé à me parler, il m’a trouvé dans la rue entrain de pleurer et je ne lui ai jamais expliqué pourquoi j’étais dans cet état. Et pourtant il n’a jamais hésité à me raconter la sienne. Suis-je égoïste ?

    Une fois mes larmes séchées, je plonge ma main sous mon matelas, et j’en sors un petit sachet remplie de poudre blanche. Si il y a bien une chose qui n’a jamais changé depuis que je suis arrivée ici, c’est ma consommation de drogue, je dois même avouer qu’elle a doublé depuis que je suis ici, je prend tout ce que je peux trouver, mais en général je tourne plus à l’héroïne, je sens qu’à chaque fois que j’en prend je suis anesthésié contre le chagrin ou même contre le mal du pays. Je dépose un peu de poudre sur ma main, mon visage se penche en avant et j’aspire toute la cocaïne. Machinalement, ma tête bascule en arrière et je ferme les yeux. Je me sens mieux, prête pour affronté une nouvelle journée.

    Après quelques minutes de silence morbide, je me redresse et me dirige vers la salle de bain. Je prends une douche glaciale, le froid ne m’a jamais fais peur, et puis de toute manière j’aime l’effet que ça me procure, ça à le mérite de me faire redescendre sur terre. Une fois lavée, j’observe mon reflet dans le miroir, les marques sur mes bras témoignent de ma consommation d’héroïne, mes cernes également. Mais j’ai d’autres marques aussi, tout autour du poignet, des traces qui n’ont jamais voulu partir, dévoilent une violence qu’on m’a fait subir quand j’étais enfant. Je finis par ne pas m’attarder plus longtemps devant cette glace. Et je saisis les premiers vêtements que je trouve, c'est-à-dire un vieux t-shirt des Beatles et un slim gris déchiré au genou et derrière la cuisse. Je laisse mes cheveux détachés et je ne prends même pas la peine de me maquiller. Tant pis si certain ou certaine me trouvent repoussante.

    Pour tout dire, je n’ai qu’une envie, c’est prendre l’air. C’est pourquoi je me trouve au parc maintenant, un petit besoin de verdure, de nature, et peut être aussi de voir du monde au lieu de rester seule dans mon coin. Pourtant, je suis seule, personne pour accompagner ma matinée, je suis assise sur ce banc et je fixe un arbre, petit effet de la cocaïne. Je reprends vite connaissance quand je sens que j’ai besoin d’une petite dose de nicotine. Je fouille dans mes poches, mais un flash apparait, j’ai laissé mon paquet dans ma chambre, quelle idiote. Je regarde autour de moi, je n’ai pas envie de déranger les couples assis tranquillement dans l’herbe. Puis mes yeux se posent sur lui (Duncan), il semble me fixer, je décide d’aller tenter ma chance auprès de lui, peut être qu’avec un peu de chance, il aura une cigarette à me dépanner.


      E : Euh, excuse moi de te déranger, mais… comment dire. Il se trouve que j’ai un besoin urgent de nicotine et j’étais entrain de me demander si tu n’avais pas une cigarette pour une demoiselle en détresse ?

    Je le regardais en souriant, je ne l’avais jamais vu, mais en même temps je ne suis pas là depuis très longtemps et cette université est tellement grande qu’il est presque impossible de connaître tout le monde. Pourtant, même si je ne l’ai jamais vu, quelque chose dans son visage m’est familier, c’est comme si il me rappelait quelqu’un que j’ai connu, il y a un certain temps.
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Duncan Emery Dashwood

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MessageSujet: Re: Première journée (Eliott)   Première journée (Eliott) EmptyMer 8 Juil - 15:16

Malgré le fait que j’aie vécu dans la rue pendant un certain moment, je suis quand même généreux. Bien entendu, ça dépend de qui et de quoi. En ce qui consistait de drogue, c’était assez rare que j’en donnais pour tout avouer. C’était la mienne point final. Côté cigarette, c’était déjà moins pire. Je me permettais d’en donner. Par contre, si la personne en question refusait toujours de m’en passer, ne vous attendez pas à ce que je lui en donne. C’était réciproque si vous voyez ce que je veux dire. Au moins, on pouvait dire que j’avais – en quelque sorte – une qualité? Ce devait être une première! En fait je me demande si j’ai déjà reçu un compliment. C’est une question à laquelle je n’aime mieux pas penser. Je pourrais être déçu! Apparemment je suis menteur, séducteur, manipulateur, etc. On peut prendre ça comme des compliments? J’y compte bien en ce qui concerne ma sœur! Quoique pour, je dirais plus emmerdeur.

Comme vous avez compris, je suis venu à Brown pour me venger de ma sœur. Une autre qualité comme vous pouvez le constater! Aujourd’hui, j’allais peut-être être sympathique par contre. C’était bien la première fois depuis des lustres que quelqu’un venait vers moi. Autrefois, j’étais comme la peste. Je vivais dans les rues c’était compréhensible, mais le monde passait près de moi en me regardant d’un air de dégoût, avec un air hautain. J’étais tout simplement un déchet de la communauté pour eux. Était-ce dû à mes vêtements? Bizarrement j’étais habillé relativement bien aujourd’hui et c’était sans doute ce qui l’approchait vers moi. Avez-vous déjà entendu du fameux test qu’un homme a fait? Un jour, il s’est habillé comme un clochard et a fait semblant d’avoir une crise cardiaque sur le trottoir et personne ne l’a aidé. Une autre journée – à la même place -, il s’est habillé en homme d’affaire et a fait la même chose. Plusieurs personnes se sont jetées à son secours. L’Homme serait si égoïste que ça?

Ce qui avait attiré mon regard sur Eliott, c’était sa ressemblance et en même temps sa différence – à première vue – avec moi. Si je me fiais à ses vêtements, elle semblait tout simplement décontractée et négligée en ce moment, mais malgré cela, elle avait la classe. C’était une femme très féminine malgré son choix vestimentaire. Étant moi-même un drogué – et il faut dire qu’en tant que SDF traînant avec du monde de bonne réputation, j’ai goutté à presque tout -, je savais reconnaître les autres personnes qui en consommaient. En la regardant, il était évident qu’elle subissait la même chose que moi. Cet attachement qui me reliait à la drogue, ma meilleure amie. La drogue était là pour nous épauler, nous rendre le sourire et puis pour oublier. Elle ne nous laissait jamais tomber, ou presque.

Lorsque la jeune femme me demanda une cigarette, j’hésitai un instant. En temps normal, j’étais plutôt du genre à répondre non – mais comme on dit, je suis généreux – et à allumer une cigarette devant la personne qui vient tout juste de m’en demander, pour la faire suer, mais aujourd’hui j’allais être un gentil garçon. En lui affichant mon plus beau sourire – façon de parler évidemment -, je sortis mon paquet de cigarette et lui en tendit une.

- Oui j’en ai bien entendu et j’aime bien aider les demoiselles en détresse alors ce sera tout simplement un plaisir. Si tu n’es pas gentille, ne recompte pas sur moi par exemple.

Du bout de mon majeur et de mon index, je lui tendis donc la cigarette en question en attendant un merci avant de libérer celle-ci. Je soulevai un sourcil en la regardant droit dans les yeux le temps d’une réponse. Oui, je savais qu’elle se droguait, mais ce n’était certainement pas le moment de lui faire remarquer. Elle pourrait se fâcher de peur d’être dans la merde et s’enfuir. Je ne la connaissais pas beaucoup donc.

- Est-ce que j’ai le droit de savoir ton nom ou si c’est un mystère et que je vais devoir me jeter corps et âme pour savoir une lettre
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